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Notre visite de Boukhara touche à sa fin ....
et en parlant de "fin" ... allons nous restaurer !
Une vieille bâtisse transformée en restaurant .
Si le repas n a pas été mémorable ... nous avons été enchanté de nôtre journée ...
et sommes songeurs de ce qui nous attend demain ...
Nous regagnons notre petit hôtel ...
admirant les éclairages des monuments tel dans un rêve des milles et une nuit ...
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Tout le monde se bouscule pour se faire prendre en photo ...
Mais qu à t elle donc d extraordinaire ...
Est ce pour ses pantoufles ?
Son sourire ?
Son âne ?
Mais qui est il donc ?
Voilà ce que dit Wikipédia :
Nasr Eddin Hodja est un ouléma mythique de la culture musulmane, personnage ingénu et faux-naïf prodiguant des enseignements tantôt absurdes tantôt ingénieux, qui aurait vécu en Turquie de 1208 à 1284[1], né à Sivrihisar et mort à Aksehir. Sa renommée va des Balkans à la Mongolie et ses aventures sont célébrées dans des dizaines de langues, du serbo-croate au persan en passant par le turc, l'arabe, le grec, le russe et d'autres.
Un peu le Donquichotte qui allait combattre les moulins sur le dos de son âne !
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La fin de la visite guidée de Boukhara touche à sa fin , même si il y a encore plein de monuments à découvrir !
Nous arrivons sur la place Liab-i-Haouz ...
...vous rappelez-vous ?
Elle a été construite autour d un bassin en 1620 ,
un cadre apaisant ...
calme ... le soir la musique des restaurants ...
et empreint de sérénité ...
où il y fait bon s asseoir sur un banc
à l ombre des muriers centenaires ...
observer la vie ...
se prendre en photo
et prendre en photo ...
Juste sur la place , la statue de Nasruddin Hodja ...
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La plus vieille mosquée d Asie Centrale dont subsiste la façade datant du IX siècle et la reconstruction du XVIe .
Un endroit sacré puisque les archéologues dans les années 30 ont découvert en dessous , les vestiges d un temple *zoroastrien du Ve siècle , détruit par les arabes et un temple bouddhique encore plus ancien !
Cette mosquée aurait été protégée des destructions mongoles car les habitants l auraient ensevelie sous du sable ... est ce une légende ou réalité ?
On ne se lasse pas des détails de décoration
toujours en brique !
Une certitude , seul son sommet apparaissait lorsque les archéologues ont commencé à fouiller !
Il se dit aussi , qu elle servit le soir jusqu au XVIe siècle , de synagogue aux juifs , symbolisant la tolérance et le cosmopolitisme de la ville de Boukhara !
Mais vous ... vous , vous dites ... " elle ressemble à quoi ? " ... et bien voilà , le puzzle est reconstitué :
*Le zoroastrisme est une religion monothéiste où Ahura Mazdâ (pehlevi : Ohrmazd) est seul responsable de l'ordonnancement du chaos initial, le créateur du ciel et de la Terre. Le zoroastrisme est une réforme du mazdéisme[1], réforme prophétisée par Zarathoustra, dont le nom a été transcrit en Zoroastre par les Grecs (Ζωροάστρης, Zōroastrēs). Cette réforme est dite classiquement être intervenue au cours du Ier millénaire av. J.-C. mais les indices s'accumulent pour la faire remonter au millénaire précédent. Elle a fait fonction de religion officielle des Iraniens à trois reprises (sous le roi Hystapès, sous les Achéménides, sous les Sassanides). Malgré l'arrivée de l'islam, elle a réussi à se fondre dans le patrimoine culturel iranien. En effet, les Iraniens, indépendamment de leur religion, accordent beaucoup d'importance aux fêtes zoroastriennes.
Les zoroastriens, aussi appelés guèbres, respectent le feu comme symbole divin. Zoroastre prêchait un dualisme reposant sur le combat entre le Bien et le Mal, la Lumière et les Ténèbres, dualisme présent dans l'islam chiite duodécimain. Le principe de Zoroastre est qu'il existe un esprit saint (Spenta Mainyu), fils d'Ahura Mazdā, et un esprit mauvais (Angra Mainyu) (pehlevi Ahriman), son jumeau, tous deux opposés car représentant le jour et la nuit, la vie et la mort. Ces deux esprits coexistent dans chacun des êtres vivants.
(vous comprendrez pourquoi j ai du mal à retenir tout ça ... alors Wiki est là ! )
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Toutes les visites d un point à un autre se font à pied , vous imaginez bien que des marchands de souvenirs jalonnent notre chemin !
Toujours sous ces coupoles et ces arches ...
ou dans les sites
ou encore sur les façades !
Certains fabriquent de façon artisanale
et d autres de façon industrielle ...
Bref il y en a pour tous les goûts !
Après quelques arrêts ...nous voilà arrivés devant la ...
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La madrasa Ulug Beg et Madrasa Abdullaziz Khan
Petit rappel
Madrasa : école Coranique
Ulug Beg est un prince, puis sultan, de la dynastie timouride, né le 22 mars 1394 à Sultaniya (Iran), mort le 27 octobre 1449 (à 55 ans) à Samarcande (aujourd'hui en Ouzbékistan). Astronome et mathématicien, il est principalement connu pour avoir créé et dirigé l'équipe des Tables sultaniennes, un catalogue astronomique qui a fait époque[2].
Elle a été construite en 1417 et n a pas été restaurée
La façade présente une caractéristique qui sera reprise ultérieurement au XVIe siècle et XVIIe siècle : de part de d’autre du portail d’entrée, elle s’articule en deux étages de portiques à ogives, chacun de ces portiques renvoyant aux locaux qui se trouvent à l’arrière.
Le portail présente des colonnes torsadées caractéristiques du style iranien.
Madrasa Abdullaziz Khan (Elle fait partie d'un ensemble architectural avec la médersa Oulough Beg (1417) )
Abdoullaziz Khan (1614-1683) qui la fait bâtir en 1652-1654.
Elle fait partie d'un ensemble architectural avec la médersa Oulough Beg (1417)
Sa décoration extérieure est en partie inachevée, car le khan a été détrôné alors que la décoration de la médersa n'était pas terminée et l'architecte a mis fin au chantier.
Boukhara comptait beaucoup de nids de cigognes un des rares restants ...
( les cigognes ne s arrêtaient plus à cause de l assèchement des innombrables bassins )
La niche polygonale du portail est recouverte de stalactites peintes.
et richement décorée.
A l intérieur les marques du temps passé se font ressentir .
elle comprenait une quarantaine de cellules.
Aujourd hui , elles ont été investies par les artisans !
On imagine le faste de la salle de prière ...
On raconte qu Abdul Aziz qui était chiite fit sertir son portrait dans cette niche (mihrab) afin de contourner l interdiction sunnite de représenter des êtres vivants .
Les chiites pensent que des personnes choisies parmi la famille de Mahomet (les imams) étaient la meilleure source de connaissance à propos du Coran
Le sunnisme[1] est le courant religieux majoritaire de l'islam. 90% des musulmans sont sunnites[2]. Ils pensent que la mailleur source de connaissance a été transmise par les écrits ( le Coran )
Wikipédia ... toujours une mémoire vive !
...
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